Les oiseaux sont des dinosaures

J’ai aimé cette plume qui a le pouvoir d’ouvrir les portes
Ce regard clair
Puis juste après il y a cette torpeur poussiéreuse 
Les Klaxons dans le vide 
Les oiseaux malades qui dévorent le sol
Le brouhaha d’ailleurs
Je ne saurais dire d’où, mais à ce croisement précis 
Je crois qu’il y a aussi une porte
Derrière chaque visage une histoire 
Derrière chaque histoire une existence
Et pourtant 
Il faut accueillir l’absurdité 
À bras ouverts 
Comme des éclats de couleur
Car les outils sont des leurres 

On les prend trop pour des armes