Basons-nous sur l'acide.

Evidemment. Le souci c'est l'analogie avec le cynisme. Et pourtant, en écoutant bien son ventre, on peut en comprendre des espaces d'incompréhension. On peut les appréhender, comme si on promenait son [   ] au bord du très fameux. Comme si les intestins étaient hors du corps, avec beaucoup d'autres déchets. Corps, ce fameux contenant où je ne découvre somme toute qu'assez peu de contenu. C'est l'éternelle et incommensurable place du trou. C'est aussi celle de la rage. C'est l'heure de [   ] part. C'est la fin des haricots. Ensuite, comme l'acide triomphe par l'intérieur jusqu'à la dernière mue, on reste flasque, on reste peau. Pourquoi on reste. Justement. C'était l'avantage de ces saloperies d'entrailles. Toute cette merde pouvait bien remplir l'enveloppe. C'est le rêve du phoque, et le cauchemar de l'infirmière en blouse blanche. De la blessure s'écoule une formule chimique corsée. C'est la cause de la fonte des glaces. Mais à la place, on trouve juste des inepties sur fond d'électronique désengagée, des consultations à la chaîne, des [   ] phrases prémâchées par des costumes bien montés mais nonchalants, des bruits de fond sans fond, des réseaux asociaux, des [   ], d'autres [   ], [   ], [   ].

Misons tout sur le trou gagnant.