Vingt et une heures trente-deux minutes plus tard

dans la tête, figée dans une cristallisation létale, dans le corps, paralysé par d'impossibles reliances, dans la main, aux doigts morts de faim d'une peau perdue, dans les yeux, aveuglés par l'éternelle obsession, dans le cœur, mécanique ensablée, dans les jambes, qui ont oublié mon nom, dans les bras, tordus par la fonction (p >H +|~ appétence = vibration 9 TrisTe), dans le foie, qui a perdu sa sœur, dans les côtes, écartelées par l'autorité médicale, dans les poils, pauvres et oxydés, dans le cul, trop étroit, dans le dos, où s'écrit tout ce que je ne peux lire, dans le cou, logement de fortune pour l'angoisse de mort, dans la langue, muette, dans les pieds, en mal d'ancrage, dans le nez, où subsiste l'odeur d'urine du bus ce matin, dans le sexe, serré jusqu'à l'os, dans les oreilles, incapables de faire le tri, dans les cheveux, en voie de disparition, dans les coudes, qui ne jouent plus, dans la peau, si fine à l'usure qu'elle ne fait plus barrage, dans le ventre, fantôme, dans les ongles, porteurs du dernier message, dans l'hiver, nucléaire.







ouaip

super con et super seul


Sont dans le mur

Bientôt


Nous ferons des efforts pour les autres qui ont vécu une heure de plus en ce sens 
Nous marcherons sur les réseaux de transport de marchandises à faire peur au loup
Nous crierons comme des porcs qui pissent leurs fluides par le cul le con les trous
Nous irons au bois dormant moins calmes écraser les pieds sur la terre noire
Nous plierons la voie pour oublier les automatismes les autoroutes les autofictions
Nous armerons nos bras de haine contre le temps pour extraire l'essentiel suc 
Nous nous coucherons dans les hautes herbes sans penser à l'intérieur de nos ventres
Nous croirons suffisamment pour laisser passer les jolies phrases et les pseudo-profils 
Nous pourrons respirer encore un peu par les pores avant de tourner de l'œil 
Nous envisagerons l'alternance et la diversité comme part indissociable de l'uni 
Nous rêverons encore d'une brindille ou d'un poil sans s'encombrer du vain fourmillement 
Nous partirons, plus loin que jamais, mais sans jamais nous éloigner de nous.

Confiance,


Tout est possible.

Aujourd'hui,


du jus de pomme, un souvenir et une croyance éteinte à jamais.



Une parution....

Bonjour amis du vrai et ici de la toile,


Un post pour vous dire qu'un recueil de nouvelles accompagné de quelques photos va sortir chez MaelstrÖm ce week-end, au prix très abordable de 7€, et en vente à la boutique dans le piétonnier de la place Jourdan, ainsi que dans les -bonnes- librairies dès la semaine prochaine.

Quinze textes autour de la mort, oui, mais le tout animé par un certain amour de la vie.

En espérant que ça vous parle, vous plaise, vous titille, 

je vous embrasse,

Nicolas







5/11/2014 La Boutique-Librairie maelstrÖM 4 1 4 fête ses 4 ANS !!!
Une échoppe, une chaloupe de la poésie, du livre, de l’art et de l’esprit.






Samedi 6 décembre à partir de 18h30 et Dimanche 7 décembre 2014 à partir de16h30Fêtons ensemble le 4e Anniversaire de la Boutique-Librairie maelstrÖm 4 4!
4 ANS ! 4 ans déjà que la Boutique maelstrÖm vit en poésie dans le piétonnier de la Place Jourdan à Etterbeek. Vin chaud offert et à volonté

Comme pour tout être vivant nous avons décidé de fêter, chaque année, l’anniversaire de notre Boutique-Librairie maelstrÖm 4 1 4 !

Voici le programme !

SAMEDI 6 à partir de 18h30 :. Vernissage de l’exposition de Milady Renoir
. Présentation des nouvelles parutions des éditions maelstrÖm en présence des auteurs :
« Poche de noir », roman de Gérard Mans ; « Le Cavalier » de Martin Ryelandt ; « Nous nous ressemblons tant », récit de Jean-Pierre Orban ; « Bombe voyage, Bombe voyage », poésies de CeeJay ; « Dernières nouvelles de la mort », nouvelles de Nicolas Marchant ; « Je suis un héros », poésie de Fabien Dariel
. Micro-Ouvert

DIMANCHE 7 à partir de 16h30 :
. Présentation et lectures de la Maison de la poésie de Tinqueux (Reims, France) et de sa nouvelle collection de poésie pour enfants parMateja Bizjak Petit et Pierre Soletti
. Thé avec les auteurs des nouveautés de la collection Bruxelles se Conte des éditions maelstrÖm : « Le bal des décapités » deDominique Brynaert ; « Trip Tram » de Kate Milie ; « L’étrange estaminet » de Dominique Leruth ; « Nouvelles pour nouveaux-nés » de Célestin de Meeûs
. Remise du Prix Gros Sel 2014


Rejoignez-nous pour célébrer le 4e Anniversaire de notre boutique de poésie ! Ce sera l'occasion de découvrir le travail de nombreux éditeurs indépendants, de rencontrer les auteurs des nos dernières parutions, de boire un verre de vin chaud en compagnie de l'équipe maelstrÖm...

Avec les auteurs déjà cités et bien d'autres!

Evénement Facebook : https://www.facebook.com/events/1492926997647004/

un œuf dans le plat

pour suer,


tu la sens mon urgente haleine de bouc?








oh merttt












demain la peste


laisser un avis dans la boue




voler des jus mais pas de fruit

C'est charmant marchant, n'est-ce pas
(D.v.)

Mais la si belle densité de ceux qui pourtant se cachent dans les ondes
La si excitante grandeur de ceux qui pourtant se cachent dans les souvenirs
La si aspirante chair de ceux qui pourtant se cachent dans la surface


Ad lib.

La matrice attriste l'artiste

p.a.m.c.a.t.

Tu n'étais pas loin, alors
Tu étais loin ,alors
J'essaye de croire
Que cet artefact est universel
Que je suis dans le réel sans etre dans le vrai

Mais la si belle densité de ceux qui pourtant se cachent dans les ondes
La si excitante grandeur de ceux qui pourtant se cachent dans les souvenirs
La si aspirante chair de ceux qui pourtant se cachent dans la surface
Font tellement le poids
Face à ça.

C'est quoi le chemin déjà ?
Il faut passer par la décharge.

Compter les trous

Je m'énerve 
Mon corps m'énerve
Ma tête m'énerve
Dehors comme dedans elle m'énerve
L'effet kiss cool 
Draft version ducon
Le nombre en suspens
L'appétence 
M'énervent
Un paquet de nerfs
Une raideur innervée 
Une crampe
Que rien ne sait plus vider




quelque chose d'indéterminé

sur le blog de la vie sous les mouches.


clic on pic

Vers où on est en train



Bien sûr la mort et les vents cyclothymiques
Les ombres du passé
Les plantes grasses mal arrosées 

Mais aussi
Tu te souviens de cette histoire
Où de l'autre côté du fleuve, l'homme n'a pas la patience d'attendre
Et avant le troisième jour il accueille sa fin à bras ouverts
Mais les arbres, les rochers et le serpent avaient attendu
Tu te souviens de la voix pleine de drame et d'émotion
Et de la flûte taillée dans le Paxiouba aux larges palmes

Avons-nous fait une originelle erreur
Ou au contraire
Avons-nous éveillé par ce biais une conscience
Terrible et terrifiante et fantastique

Et l'assurance de la paisible régression 
Jusqu'à la fin du vrombissement 


Le loup règle ses contes

Il était une fois
Un petit moment avec le temps pour les autres 

Ce soir qui se fait passer pour une fille de la musique 
Il est un matin qui ment

Le temps passe trop vite 
Et après, c'est la première fois que le monde se plie

C'est peut-être triste 
Mais du coup tu te retrouves à côté de lui

Et ça fait 


Alors je vomi dans ma tête.

J'aurai mille fois tenté
mais un autre avant moi
qui ne sais pas que d'autres giclées
étaient nôtres et pas tiennes
t'a volé ton cul dans l'herbe fraîche

Il vaut mieux abandonner, lentement.


Reste

Il n'est pas tard
Pourtant

C'est pas la mort
Pourtant

On est pas si loin
Pourtant

Il y a prescription
Pourtant

On peut se perdre
Pourtant

La vie continue
Pourtant

Il y a des jours 
Pourtant

Je monte sur la vague
Pourtant

On peut toujours rêver 
Pourtant

La gorge se noue
Pourtant

Au détour de nous 
Pourtant

L'aube.

La machine qui me dit quoi

J'ai trop de choses que tu me dis que c'est un bon moment pour moi aussi mais c'est pas possible que tu me manques aussi mon petit cœur de pierre comme ça on va se mettre à jour pour les gens qui se sont fait des crêpes ce soir. C'est pas grave dans le monde de ma vie, mais il y a un truc qui me fait penser à la fin du monde. C'est la première fois que j'ai pas envie de me lever pour aller au lit. J'ai trop de la semaine dernière à cette époque. Il y a un gars qui se fait des photos avec des genoux de ma mère. Je vais pas assumer le réveil va faire du mal à la tête du groupe sur les réseaux de communication de crise cardiaque, être une journée sans pression et de son côté le temps de me dire ça, c'est la première fois que j'ai vu un truc à faire pour la première partie de chez moi. 

Nuées dispersées de particules lourdes

Lundique mélancoli

Alphabet rudimentaire

Je croyais que j'allais frapper, broyer
Puis en fait rien
Rien de 
Rien

C'est bizarre tout ce qu'on s'attend

heureusement, la chair de l'avocat est un délice

En sortant de l'ascenseur, hier vers 15 heures 38
5 secondes d'arrêt, le corps, tout
puis je suis descendu jusqu'à la place
un thé citron à 2 euros 20
peut-être pour une question de désinfection, je mords dans le quartier qui trempe

Bien que je n'aie que 15 minutes
avant de devoir partir
et bien que je ne saisisse pas souvent avec justesse l'état dans lequel je serai à la prochaine étape
dans 10 secondes pas plus que dans 10 ans
j'ai le temps de penser
que nous sommes si fragiles
tellement à la merci de l'illusion de nous

Fais l'expérience
touche un tout petit endroit de ton corps très longtemps
avec un seul doigt
très longtemps
jusqu'au moment où tout se confond


Quelque chose

Quelque chose m'échappe 
Mais quoi
Quelque chose s'échappe
On est nus devant la colonne dorienne
En matière expansée 
De nos ventres ouverts s'expulsent des humeurs
Quelqu'un offre à boire
J'ai oublié son visage

D'ailleurs j'ai tout oublié
J'ai une mauvaise mémoire de l'avenir

Deux minutes

Mon réveil sonne à six heures cinquante. Ensuite l'alarme de mon téléphone. A cinquante-cinq. Immédiatement je pose un pied au sol. Je suis prêt, grâce à la première sonnerie. Parfois j’ai presque l’impression d’anticiper. La plante de mon pied sur le sol, ce contact, synchrone dès la première seconde. Plus c’est ajusté, meilleure sera ma journée. Les premiers instants. C’est très important. Mais sans tricherie, sans tricher. Je me le dis tous les matins, dans un demi-sommeil. Ne pose pas le pied avant la sonnerie. Toujours après, ou juste en même temps. Un quart de seconde avant est un gâchis bien plus grand que quatre secondes après. Tu veux que les choses se passent bien. Tu sais que le début de la journée est difficile. Je ne vais pas la foutre en l’air dès le début, pour une simple question d’orgueil. Mieux vaut jouer la prudence. D’autant que tu n’as pas besoin de te lever à cette heure. Tu le sais. Mais je ne parviens pas à faire autrement. Une journée ça démarre à sept heures. La circulation, les gens qui partent au travail, les enfants sur le chemin de l’école, les chambres aérées, les volets ouverts. Tu ne pourrais pas dormir plus tard. Ce serait faire injure au monde. Tu veux rester solidaire de son rythme. Sept heures, c’est le rythme du monde. Et ce soir tu essaieras peut-être de faire autrement, sans forcer. Ca ne sert à rien. Prends une douche. Évidemment. Une douche c'est indispensable pour un début de journée. Mais je dois faire très attention. Une douche ratée, ça peut tout gâcher. Avoir des conséquences désastreuses. Imaginons que je me sente mal. Sous la douche. Mon téléphone doit rester accessible. Sur le petit meuble, juste à côté. J'y plie la serviette rouge, pour pouvoir avoir les main sèches. J'y pose aussi un verre d'eau froide, en cas de malaise. Avec quelques médicaments d'urgence, dans une boîte en plastique. Il faut suffisamment d'espace entre les choses, mais sans trop les rapprocher du bord. Je me suis déjà souvent fait la remarque. Ce meuble est un peu trop petit. Une quinzaine de centimètres. Tu n'avais qu'à pas changer de boîte, l'ancienne était parfaite. Oui. Tu pourrais reprendre l'ancienne. Elle n'est pas en plastique. Et si près de l'eau. Mais il n'est jamais rien arrivé. Si près de l'eau. Ça m'a coûté d'en changer, je ne pense pas avoir le courage de faire le chemin inverse. L'eau est à la bonne température. Tu la laisses toujours couler pendant que tu te déshabilles. Ça permet de vérifier qu'il n'y a pas de variations. C'est important. Je gaspille du temps à positionner mes vêtements, je pourrais peut-être la démarrer un peu plus tard. Tu te le dis tous les jours. Tu sais que tu ne changeras pas ça. Concentre-toi plutôt sur la boîte. Revenir à l'ancienne. Tu l'as déjà eue, c'est pas comme si c'était nouveau. Sans doute. Je n'arrive pas à y penser sous la douche, à cause du temps. Je dois le compter, comme je n'ai plus l'information. Je me le dis souvent. Être nu, c'est une épreuve. À la merci. Tu ne peux plus compter que sur ton esprit. Je compte, oui. Je compte cinq minutes. Trois cent cinquante secondes. Il ne m'en faut pas plus. Lavé rincé. Si j'avais eu une montre qui résiste à l'eau. Je crois que mon père en avait une. Elle est peut-être à la cave. Tu pourrais aller voir, un jour. Imagine le changement. Essuie-toi mieux. Tu as le temps. Tu vois l'heure à présent. Avoir une montre qui résiste à l'eau. Oui. Ça changerait beaucoup les choses. Ce moment du matin. Bouleversé. Une plus grande disponibilité d'esprit, pendant ces cinq minutes. La possibilité d'élaborer des projets. Nu. C'est presque inimaginable. Tu pourrais penser. Par exemple à ce changement de boîte. Tu pourrais soupeser le pour et le contre. Sans compter. Mais qu'est-ce que ça changerait. Au final. Si c'est la boîte en plastique qui l'emporte. Dans ce cas le meuble sera un peu petit. Et tu sais très bien que tu ne changeras pas de meuble. C'est beaucoup trop compliqué. C'est carrément de l'ordre du fantasme. Donc remets cette foutue boîte en carton. Ça t'évitera de devoir aller chercher cette montre. Je m'énerve. C'est pas bon. J'avais l'impression d'être juste, au réveil. La plante de mon pied sur le plancher. Et voilà que je me retrouve acculé à changer la boîte. Je ne vois pas d'autre solution. Bois ton café. Ne perds pas le reste de vue. Tu as mis le lait du mauvais côté de la table. Merde. Ça dérape. J'ai du devancer la deuxième sonnerie sans m'en rendre compte. Un quart de seconde trop tôt. Je ne l'ai pas senti. Merde. Je ne triche pas. Chaque matin, je me force à ne pas tricher. Merde. Ça va dégénérer. Il faut que j'appelle quelqu'un. Non. Ce serait pire. Replace le lait. Calme-toi. Je ne vais pas m'en sortir. Je le sens. Replace le lait. Prends ton téléphone avec toi, et fais le tour de la table. Ça ne changera rien. Ensuite tu reviens t'asseoir à ta place. Tu profiteras de la vue. Comme tous les matins. La journée qui commence. Oublie cette fichue boîte, pour le moment. Tu y penseras plus tard. Prends ton téléphone. Le tour de la table. Le lait. Je préfère ça. Rien n'est tombé du meuble, tout à l'heure. Donc il n'est pas si petit que ça. Tu en auras la confirmation demain matin. Oublie la boîte. Il suffit d'être synchrone. Oublie la boîte. Avec la plante du pied. Et plier correctement la serviette ce soir. Je me sens mieux. Quel poids en moins. Je me sens mieux. Cette décision. Elle m'allège. J'ai fait le tour de la table, pour replacer le lait. C'est déjà bien assez pour aujourd'hui. Il est sept heure dix-huit. Il te reste encore deux minutes avant de ranger la tasse. Deux minutes. Malgré toute cette histoire. Regarde un peu dehors. Dehors. Deux minutes. De liberté.

Bateau

Je devrais réfléchir je me dis. Je devrais avoir moins froid. Aux yeux, par exemple. Je devrais affûter. Je devrais décider. Je devrais consulter une carte. Mais les yeux fermés. Mais l'esprit ouvert. Mais sans rien de tracé. Mais à l'envers. Je devrais décortiquer jusqu'en dessous des pelures. Je devrais m'inspirer de la sueur. Je devrais boire sans sucre. Mais avec suc. Mais pas de travers. Mais pouvoir cracher. Mais savoir avaler. Je devrais dire un chiffre. Par exemple 473. Puis je devrais être à la hauteur. Je devrais choisir. Mais les yeux ouverts. Mais les différences valent bien les finitudes. Mais pour un court instant, nous devenons l'âme de nos ancêtres. Mais ce n'est pas seulement une question de gène. Je devrais moins geindre, d'ailleurs. Écouter le son d'un pas. Écouter l'ancre qui parle à la baleine. C'est plus fort que 


Je devrais faire tout ce que j'ai. Je devrais quitter la route où il y a des lignes. Je devrais avoir quelques certitudes, dont je ferais des bouées. Des bouées dans la boue. Je devrais mettre du panache dans mon eau dans mon vin. Je devrais rester à sa place en silence. Je devrais moins serrer les fesses. Je devrais être trash-stylé-insupportable-mais-tellement-formidable. Je devrais aimer ma bite à la sortie de ma douche. Je devrais buter la gueule du facteur demain, et voler l'enveloppe. Me débarrasser de l'enveloppe. Et sous elle trouver qui je suis. Mais les yeux dans les yeux. Mais sans faillir. Mais ouvrir mes failles. Pour qu'on les prenne pour des falaises. Pour qu'on n'en sache qu'une à la fois. Pour qu'on en sache pas le bout. Je devrais aligner des notes. Je devrais mélanger des choses incurables. Je devrais voir le programme qui suit en version originale.

Je devrais dormir dessus.
Mais les yeux hors des yeux.
Ailleurs.
Sur la mer.
Pêcher un poisson.